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| En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... | |
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+14moonriver Otto Bahnkaltenschnitzel Coda Tony's Theme guil Gengis Rorschach davcom Azbinebrozer Nulladies lalou Zwaffle Esther Goupi Tonkin 18 participants | |
Auteur | Message |
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Goupi Tonkin la séquence du spectateur
Nombre de messages : 914 Date d'inscription : 21/11/2008
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Lun 20 Avr 2015 - 7:53 | |
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| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Mar 21 Avr 2015 - 6:44 | |
| Dis-moi Goupi, tu as vu Leviathandepuis ? Je serais curieux de savoir si tu le places au même niveau. Entièrement d'accord avec ce que tu dis d'Elena, en tout cas.
Pour ce qui est de Gray, je rejoins le lapin : j'ai quand même eu du mal avec The Immigrant. Les autres, ils m'ont souvent éblouis, mais il faut que le les voie à nouveau, de la cinéphilie a coulé sous les ponts depuis leur découverte, et je crois qu'ils gagneraient beaucoup.
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| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Mar 21 Avr 2015 - 6:44 | |
| Muse your illusion. Namir Abdel Messeeh est un petit malin son docu-fiction ne cesse de devancer les reproches qu’on s’apprête à lui faire. Bordélique, brouillon, partant dans toutes les directions, son projet a de quoi déconcerter. Décidé à enquêter sur les apparitions de la Vierge au sein de la communauté copte en Egypte, le réalisateur initie un documentaire qui va le lancer sur les traces de ses origines, sous les commentaires acerbes de sa mère qui ne croit pas en son projet ni, d’ailleurs, ne le comprend vraiment. Mélange étrange de ces images filmées et de leur laborieux tournage, de son rapport tumultueux à son producteur, making off, work in progress, son film s’embourbe tout en s’enrichissant de sa propre exégèse. Alors qu’on a plutôt tendance à prendre le parti de ceux qui condamnent sont projet, et qu’on peut s’irriter de la façon dont le réalisateur assume son amateurisme, la direction finale prise par son projet enfonce, semble-t-il, le clou du n’importe quoi. Face à l’échec d’un film documentaire sur les apparitions de la Vierge, il prend le parti d’en reconstituer une fictionnelle avec toute la communauté de sa ville natale. Le film devient alors l’aventure de ce tournage, le casting et le regard sceptique ou amusé de ses cousins sur son projet farfelu, souvent très drôle. Progressivement, à l’image de ces sourires qui naissent sur les visages et ces amateurs qui se laissent prendre au jeu, le spectateur se laisse prendre à mesure que le réalisateur s’efface au profit de ceux qu’il filme. Car dans ce jeu de dupe (on comprend bien qu’une part du documentaire est elle-même jouée, que certaines parties sont reconstituées) où tout semble improvisé, Messeeh dévoile discrètement ses cartes et fusionne le disparate en une réfléxion tendre et puissante sur les pouvoirs du cinéma. Art de l’illusion, écriture fictive pour retourner aux vrai des origines, travail sur la foi, son métier lui permet un regard lucide et enthousiaste sur ces points névralgiques du 7ème art. La projection finale, qui permet de voir le film tourné et son impact sur ses spectateurs/acteurs, est un moment d’autant plus fort qu’elle est le miroir des réactions dans la salle (pour avoir vu ce film en salle avec des élèves, l’effet n’en a été que renforcé), et renvoie à ces déclarations d’amour pour cette nouvelle sacralité qui réunit les foules, qu’on trouvait déjà dans Cinéma Paradiso de Tornatore. Un film atypique, d’une grande intelligence, associée à une pudeur qui donne à son propos une authenticité rare. | |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Jeu 23 Avr 2015 - 7:02 | |
| Engoncés des portes ouvertes La rigidité britannique s’est paradoxalement toujours bien prêtée aux saveurs de la comédie. James Ivory grâce au talent littéraire de Forster qui deviendra sa principale source d’inspiration, nous livre une partition délicieuse sur les affres sentimentales de la haute société. Soit un milieu guindé, anglais jusqu’à la petite cuillère, où cohabitent les générations, entre perpétuation du code et fulgurance sentimentales venues tambouriner à ses portes. De Florence à la campagne anglaise, tout n’est que jeu. Avec les conventions, avec l’autre, et c’est bien le masque qui donne tout son piquant aux tumultes étouffés des passions. Ironie, mensonge, mesquineries, médisance, tous se défoulent sans que rien ne dépasse, et surgissent de temps à autre baisers fougueux, abbé nu dans les mares forestières, marche exaltée sous pluie ou rupture fracassante. Ces petites récompenses ont d’autant plus de prix qu’elles sont cathartiques et soulagent autant le spectateur que les personnages engoncés dans une société mortifère. Portée par des comédiens aussi malicieux que doués de tact, la comédie se déguste comme un thé : elle ne procurera certes pas l’ivresse, mais réchauffe et sait déployer des arômes singuliers qui, les soirs d’hiver, caressent le palais avec douceur. | |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Jeu 23 Avr 2015 - 7:03 | |
| Fight hawks The killers suinte la classe absolue dès ses premières secondes : c’est un carrefour nocturne qu’on croirait sorti d’une toile de Hopper, un diner dans lequel surgissent deux larrons qui vont, avec une faconde unique, entamer la conversation cynique et brutale conduisant à l’exécution de leur contrat. Travail sur le double espace entre cuisine et comptoir, caméra au niveau du zinc, répliques au cordeau, tension croissante, cette séquence est à faire entrer dans l’anthologie des ouvertures du film noir. A l’autre bout du spectre, la cible attend passivement sur son lit qu’on vienne le cueillir, et c’est un simple rai de lumière sous sa porte qui nous annonce l’inéluctable. Rideau. Contrairement au développement qu’en fera Don Siegel deux décennies plus tard, c’est du côté des good guys (un assureur & un flic) que se met en place la remontée vers la vérité. Constituée de flashbacks remontant progressivement le temps, celle-ci s’acharne à faire surgir l’histoire d’un échec, celui du colosse fragile Burt Lancaster, qui encaisse pour les autres et se démène dans des intrigues qui ne sont pas les siennes. La très belle scène de coup de foudre pour Ava Gardner, qui n’apparait qu’à la 36ème minute, en dit long sur son rôle : dans une oblique alignant les trois personnages, Burt délaisse la blonde du fond pour la brune qui chante au premier plan, subjugué, mais déjà entre deux, et emprisonné dans un rôle de second couteau. Le magnétisme de la femme fatale est ici rendu par un traitement aux antipodes de la version suivante. Vénéneuse, Ava Gardner brille par une présence elliptique, et alors que tout le récit tourne autour d’elle, ses apparitions sont ménagées avec soin, de dos à une table, dans un hors-champ inattendu au cours d’une réunion de gangsters… En contrepoint de la remontée vers la descente aux enfers de Lancaster, un indice ironique se fait par le parcours du flic, son ami d’enfance ayant construit avec la femme qu’il a délaissée un modeste et authentique bonheur. Si le recours systématique au témoignage pour le flashback n’est pas toujours de la même pertinence (notamment la confession délirante sur le lit d’hôpital d’un ancien complice, un peu trop téléphonée), le film conduit vers une escalade des confessions, dont le très beau duel avec Dum-dum où les récits se complètent lorsque le flingue change de main. L’une des dernières séquences, dans le restaurant, boucle admirablement le récit : de l’intime tendu à la foule, du diner à la grande salle, elle épanche la fluidité d’un superbe mouvement de caméra qui concentre dans son travelling quatre personnages disséminés dans la cohue venus régler leurs comptes à coup de flingues. The Killers ne se contente pas d’instituer les codes du film noir : par son sens du portrait, par la malice de sa narration, il se pose comme un film incontournable. | |
| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Jeu 23 Avr 2015 - 7:11 | |
| Profanation. Un thriller bien foutu et un brin dérangeant. | |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Jeu 23 Avr 2015 - 7:22 | |
| Rien que le titre original est un brin dérangeant. | |
| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Jeu 23 Avr 2015 - 7:31 | |
| Mouais. Le passage sur grand écran n'est pas convaincant. Les pièces sont bien meilleures. | |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Sam 25 Avr 2015 - 7:35 | |
| Fission, fusion, émotion. C’est dans les allées-venues que se loge la poésie d’Hiroshima mon amour. Celle des amants en fusion, dans ce majestueux plan d’ouverture où les corps en sueur se couvrent d’une cendre brillante qui annonce la première partie du titre. Celle des images d’une ville suppliciée, d’une architecture du désastre, d’un peuple mutilé, en contrepoint d’une chambre dans laquelle on tarde à voir le visage du couple. « De bien regarder, je crois que ça s’apprend » Resnais semble donc prolonger un regard sur l’Histoire, initié dans le magistral Nuit et Brouillard, en y intégrant, par le biais de la littérature et le texte de Marguerite Duras, la destinée individuelle amoureuse. Par elle, c’est le travail du temps qui fait son œuvre : Hiroshima a déjà été détruite, la guerre a fait son œuvre, et de la confession intime va surgir un écho amoureux, celui d’une liaison coupable avec un Allemand dans un Nevers occupé. Comme dans L’année dernière à Marienbad, la passion n’est jamais rendue aussi explicite en sa confusion que dans son rapport au temps. A la brûlure qui a rendu « le métal vulnérable comme la chair » sur la cité japonaise répond le froid des caves de France. A la tonte de la collabo, la liberté de mouvement de la femme épanouie, Emmanuelle Riva étincelante de beauté et de douleur. A croire que la guerre et le chaos de l’Histoire exacerbent les passions intimes : l’occupation allemande, le statut de soldat du Japonais qui l’a sauvé du cataclysme rendent possible l’amour. Alors que le dialogue se construit, la négation systématique des débuts (« Tu n’as rien vu à Hiroshima ») s’épaissit d’affirmations : la femme se souvient au présent, fusionne les amants dans un tutoiement général qui universalise à la fois l’amour et la douleur de la perte : celle, révolue, de la froide France oubliée et celle, à venir, de cette Asie brûlante. Certes, Resnais n’échappe pas à Duras et sa littérarité au forceps. La parole est incantatoire, l’artificialité guette, et peut susciter un agacement « à la française ». Mais pour peu qu’on se laisse aller à cet écrin ostentatoire, la leçon d’histoire humaine est juste. Coryphées d’une humanité traumatisée par son siècle, les amants prennent dans l’ultime séquence le nom de leur ville respective. Pôles géographiques condamnés à la distance qui les sépare, ils sont désormais l’expression d’une douleur universelle, qu’elle soit atomique, guerrière ou sentimentale. Mais par la beauté plastique des mouvements dans cette ville qui renait de ses cendres, par les sourires et l’espoir fou de ces êtres fragiles, se dessine aussi la grande beauté humaine. Sur ces décombres brûlés par la fission nait la chaleur de la fusion, dans cette froideur des années noires sourd une chaleur irrépressible : en dépit de ce pire dont l’homme est capable, Hiroshima… est une plongée dans ce qu’il recèle de plus grand, de plus mystérieux et de plus vibrant : l’amour. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Sam 25 Avr 2015 - 8:06 | |
| - Nulladies a écrit:
- La parole est incantatoire, l’artificialité guette, et peut susciter un agacement « à la française ».
Et chez Resnais j'ai jamais pu dépasser ça. Beurk. |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Sam 25 Avr 2015 - 10:44 | |
| Ouais, je peux comprendre. Mais c'est assez magnifique, en fait. | |
| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Dim 26 Avr 2015 - 10:33 | |
| Voulant surfer sur la vague de paranomal activity, ce machin laid est un naufrage absolu.... Ils promettent une trouille bleue... J'ai failli sombrer dans les bras de Morphée. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Dim 26 Avr 2015 - 14:10 | |
| - Nulladies a écrit:
- Ouais, je peux comprendre. Mais c'est assez magnifique, en fait.
Dans les premiers il y a quelque chose, depuis les années 80 je me pose quand même des questions sur la santé mentale de ses défenseurs. |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Dim 26 Avr 2015 - 14:20 | |
| - RabbitIYH a écrit:
- Nulladies a écrit:
- Ouais, je peux comprendre. Mais c'est assez magnifique, en fait.
Dans les premiers il y a quelque chose, depuis les années 80 je me pose quand même des questions sur la santé mentale de ses défenseurs. Joker, je n'ai quasiment rien vu de lui en fait. Smoking /No Smoking qui m'avait fait chier, mais j'étais jeune, On connait la chanson, mignon, mais rien du reste. | |
| | | Azbinebrozer personne âgée
Nombre de messages : 2751 Date d'inscription : 12/03/2013 Age : 63 Localisation : Teuteuil Humeur : mondaine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Dim 26 Avr 2015 - 17:27 | |
| - Nulladies a écrit:
- RabbitIYH a écrit:
- Nulladies a écrit:
- Ouais, je peux comprendre. Mais c'est assez magnifique, en fait.
Dans les premiers il y a quelque chose, depuis les années 80 je me pose quand même des questions sur la santé mentale de ses défenseurs. Joker, je n'ai quasiment rien vu de lui en fait. Smoking /No Smoking qui m'avait fait chier, mais j'étais jeune, On connait la chanson, mignon, mais rien du reste. Alain Resnais depuis les années 80 :1980 : Mon oncle d'Amérique : j'ai beaucoup aimé 1983 : La vie est un roman : j'ai aimé 1984 : L'Amour à mort : souvenirs difficiles, truc pénible... 1986 : Mélo : bien aimé 1989 : I Want to Go Home (Je veux rentrer à la maison) : pas vu 1993 : Smoking / No Smoking : j'ai adoré ! 1997 : On connaît la chanson : bien aimé 2003 : Pas sur la bouche : bien aimé 2006 : Cœurs : pas vu 2009 : Les Herbes folles : m'a ennuyé 2012 : Vous n'avez encore rien vu : beaucoup aimé 2014 : Aimer, boire et chanter : pas vu Je vous envoie le Compte-Rendu des différentes thérapies requises et les adresses pour consulter dès que possible... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Lun 27 Avr 2015 - 2:47 | |
| - Alzheimbrozer a écrit:
1980 : Mon oncle d'Amérique : j'ai beaucoup aimé
Oui celui-là ça va, je le comptais pas. - Alzheimbrozer a écrit:
2006 : Cœurs : pas vu
T'as de la chance, c'est le pire. Sinon comme tout le monde j'ai bien aimé On connaît la chanson, mais c'est plus grâce à Jaoui/Bacri qu'à Resnais. Vous n'avez encore rien vu tiens j'avais zappé celui-là, à tort peut-être ?... |
| | | Nulladies Cinéman
Nombre de messages : 2734 Date d'inscription : 28/12/2013 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Mar 28 Avr 2015 - 7:48 | |
| International mélo graphique. Après la très belle surprise que constituait Koyaanisqatsi, on aborde avec une certaine méfiance ce nouvel opus, en se demandant dans quelle mesure il sera possible de renouveler le propos qui semblait d’une unité infaillible dans le premier volet. Accordons à Reggio le mérite d’avoir voulu éviter la répétition. Alors qu’il s’attardait sur une vision globale de la planète, les choix le portent ici davantage sur les individus qui la composent, principalement dans leur labeur. Soucieux d’être exhaustif, il multiplie les prises de vue aux quatre coins du (souvent tiers) monde, s’attarde sur la tradition puis la modernité, et rend hommage aux visages qui se voyaient jusqu’alors occultés par le surplomb général. L’autre parti pris est celui du rythme : aux accélérations et time lapses succèdent un recours quasi constant au ralenti. Très parlant dans la séquence d’ouverture, assez poignante, des ouvriers dans une mine à ciel ouvert, portant paquets de terre et corps de leur camarade, le procédé vire cependant assez rapidement à la recette systématique et répétitive à l’infini. Les images sont indéniablement belles, et passer sans transition du Pérou à l’Afrique, du Gange à l’urbanisme effrayant de l’Asie renouvelle certes la richesse iconique du film. Mais la musique elle-même semble moins inspirée, plus autonome, alors que l’aspect sériel et hypnotique collait parfaitement au montage frénétique de Koyaanisqatsi. Diaporama de luxe, Powaqqatsi est sincère dans ses intentions, louable dans son désir de ne pas répéter une formule, mais ne fait guère mouche dans les nouvelles directions qu’il explore. | |
| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Mer 29 Avr 2015 - 7:58 | |
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| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Ven 1 Mai 2015 - 20:40 | |
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| | | Goupi Tonkin la séquence du spectateur
Nombre de messages : 914 Date d'inscription : 21/11/2008
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Sam 2 Mai 2015 - 17:48 | |
| - Nulladies a écrit:
- RabbitIYH a écrit:
- Nulladies a écrit:
- Ouais, je peux comprendre. Mais c'est assez magnifique, en fait.
Dans les premiers il y a quelque chose, depuis les années 80 je me pose quand même des questions sur la santé mentale de ses défenseurs. Joker, je n'ai quasiment rien vu de lui en fait. Smoking /No Smoking qui m'avait fait chier, mais j'étais jeune, On connait la chanson, mignon, mais rien du reste. Celui-là, pour moi, est une merveille : | |
| | | Goupi Tonkin la séquence du spectateur
Nombre de messages : 914 Date d'inscription : 21/11/2008
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Sam 2 Mai 2015 - 17:55 | |
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| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Dim 3 Mai 2015 - 6:44 | |
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| | | Zwaffle un mont de verres
Nombre de messages : 1724 Date d'inscription : 08/01/2014 Age : 47
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Mar 5 Mai 2015 - 9:15 | |
| j'étais complètement passé à côté de ce film de Jonathan Demme petit film, tourné caméra à l'épaule, avec des musiciens qui jouent vraiment (aucune musique préenregistrée dans le film), un petit clin d'oeil à mister Neil Young et son "Unknown Legend" plutôt émouvant (Anne Hathaway est vraiment très bien), une bonne surprise | |
| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Mer 6 Mai 2015 - 20:39 | |
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| | | Esther Yul le grincheux
Nombre de messages : 6224 Date d'inscription : 31/10/2013 Age : 50 Humeur : Taquine
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Lun 11 Mai 2015 - 15:11 | |
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| | | Otto Bahnkaltenschnitzel génération grenat (dîne)
Nombre de messages : 1940 Date d'inscription : 27/08/2014
| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... Lun 11 Mai 2015 - 18:27 | |
| - Esther a écrit:
Vu au cinoche la première fois : Magnifique. Revu en DVD 10 ans plus tard : Bof. | |
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| Sujet: Re: En visionnage : DVD / Divx / vhs / Super 8.... | |
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