Hier soir à la tv

Pour tous ceux qui ont aimé le jeu "assassin's creed sur PS3, voici le 1er spin off melangeant sequence du jeu et vrais plans, j ai adoré

beau film de gueules cassées

après les bouses US "avatar" et "2012", de la poésie pure.

jeffard a écrit:

après les bouses US "avatar" et "2012", de la poésie pure.

N'empeche, Jean Vigo et Roland Emmerich ont fait le même métier

Metropolis ce soir sur Arte

toujours aussi cinglant et drôle.

très bien sauf le dénouement

Shoplifter a écrit:

très bien sauf le dénouement

Hein ? T’as subi une lobotomie ? Ce film est parfait de bout en bout, maraud !

Goupi Tonkin a écrit:

Shoplifter a écrit:

très bien sauf le dénouement

Hein ? T’as subi une lobotomie ? Ce film est parfait de bout en bout, maraud !

je dis juste que le maître aurait pu agrémenter son scenario d'un ultime rebondissement en dévoilant un crime du voisin qui aurait été autre que celui du meurtre de sa femme dont le soupçonne le voyeur stewart depuis le début, cela aurait encore accentuer la mise en abîme cinématographique sur le mode "tu crois voir et tout comprendre mais la vérité vraie est cachée ailleurs"
voilà, faquin !

Shoplifter a écrit:

Goupi Tonkin a écrit:

Shoplifter a écrit:

très bien sauf le dénouement

Hein ? T’as subi une lobotomie ? Ce film est parfait de bout en bout, maraud !

je dis juste que le maître aurait pu agrémenter son scenario d'un ultime rebondissement en dévoilant un crime du voisin qui aurait été autre que celui du meurtre de sa femme dont le soupçonne le voyeur stewart depuis le début, cela aurait encore accentuer la mise en abîme cinématographique sur le mode "tu crois voir et tout comprendre mais la vérité vraie est cachée ailleurs"
voilà, faquin !

"la vérité vraie est cachée ailleurs"

Génial, Jean Fox Mulder ! Si on change le dénouement par cet « artifice » un peu lourd (un autre meurtre que celui prévu) c’est plus le même film et certains enjeux de départ ne veulent plus rien dire. Notamment celui-là :
" Le problème de James Stewart est qu'il n'a pas envie d'épouser Grace Kelly et, sur le mur d'en face, il ne voit que des actions qui illustrent le problème de l'amour et du mariage ; il y a la femme seule sans mari ni amant, les jeunes mariés qui font l'amour toute la journée, le musicien célibataire qui s'enivre, la petite danseuse que les hommes convoitent, le couple sans enfant qui a reporté son affection sur le petit chien, et surtout le couple marié dont les disputes sont de plus en plus violentes jusqu'à la mystérieuse disparition de la femme."
Entretiens Hitch/ La Truffe.

Si Raymond Burr ne bute pas sa bonne-femme mais le facteur ou le laitier, ça ne veut plus rien dire, cornichon ! Fenêtre sur cour, c’est pas un whodunit façon Agatha Christie avec rebondissement final : qui a tué et pourquoi, Hitch s’en tamponne. Les « apparences trompeuses », c’est pas le sujet du film. C’est même un peu le contraire. En résumé, La" vérité que propose le cinéma" est dans le cadre ( Fenêtre / écran ) et Stewart ainsi que le spectateur, immobiles et impuissants, la subissent. Et Hitch le pervers de ricaner derrière la caméra...

Goupi Tonkin a écrit:

Shoplifter a écrit:

Goupi Tonkin a écrit:

Shoplifter a écrit:

très bien sauf le dénouement

Hein ? T’as subi une lobotomie ? Ce film est parfait de bout en bout, maraud !

je dis juste que le maître aurait pu agrémenter son scenario d'un ultime rebondissement en dévoilant un crime du voisin qui aurait été autre que celui du meurtre de sa femme dont le soupçonne le voyeur stewart depuis le début, cela aurait encore accentuer la mise en abîme cinématographique sur le mode "tu crois voir et tout comprendre mais la vérité vraie est cachée ailleurs"
voilà, faquin !

"la vérité vraie est cachée ailleurs"

Génial, Jean Fox Mulder ! Si on change le dénouement par cet « artifice » un peu lourd (un autre meurtre que celui prévu) c’est plus le même film et certains enjeux de départ ne veulent plus rien dire. Notamment celui-là :
" Le problème de James Stewart est qu'il n'a pas envie d'épouser Grace Kelly et, sur le mur d'en face, il ne voit que des actions qui illustrent le problème de l'amour et du mariage ; il y a la femme seule sans mari ni amant, les jeunes mariés qui font l'amour toute la journée, le musicien célibataire qui s'enivre, la petite danseuse que les hommes convoitent, le couple sans enfant qui a reporté son affection sur le petit chien, et surtout le couple marié dont les disputes sont de plus en plus violentes jusqu'à la mystérieuse disparition de la femme."
Entretiens Hitch/ La Truffe.

Si Raymond Burr ne bute pas sa bonne-femme mais le facteur ou le laitier, ça ne veut plus rien dire, cornichon ! Fenêtre sur cour, c’est pas un whodunit façon Agatha Christie avec rebondissement final : qui a tué et pourquoi, Hitch s’en tamponne. Les « apparences trompeuses », c’est pas le sujet du film. C’est même un peu le contraire. En résumé, La" vérité que propose le cinéma" est dans le cadre ( Fenêtre / écran ) et Stewart ainsi que le spectateur, immobiles et impuissants, la subissent. Et Hitch le pervers de ricaner derrière la caméra...

ouais, ferme ton dico du cinéma, on t'a reconnu
je m'incline, tu as sans doute raison, hitchcock n'est pas night shamalalinayanmachin
n'empêche ce très bon fenêtre sur cour n'est pas mon préféré PARCE QUE J'AIME PAS TROP LE DENOUEMENT

Shoplifter a écrit:

Goupi Tonkin a écrit:

Shoplifter a écrit:

Goupi Tonkin a écrit:

Shoplifter a écrit:

très bien sauf le dénouement

Hein ? T’as subi une lobotomie ? Ce film est parfait de bout en bout, maraud !

je dis juste que le maître aurait pu agrémenter son scenario d'un ultime rebondissement en dévoilant un crime du voisin qui aurait été autre que celui du meurtre de sa femme dont le soupçonne le voyeur stewart depuis le début, cela aurait encore accentuer la mise en abîme cinématographique sur le mode "tu crois voir et tout comprendre mais la vérité vraie est cachée ailleurs"
voilà, faquin !

"la vérité vraie est cachée ailleurs"

Génial, Jean Fox Mulder ! Si on change le dénouement par cet « artifice » un peu lourd (un autre meurtre que celui prévu) c’est plus le même film et certains enjeux de départ ne veulent plus rien dire. Notamment celui-là :
" Le problème de James Stewart est qu'il n'a pas envie d'épouser Grace Kelly et, sur le mur d'en face, il ne voit que des actions qui illustrent le problème de l'amour et du mariage ; il y a la femme seule sans mari ni amant, les jeunes mariés qui font l'amour toute la journée, le musicien célibataire qui s'enivre, la petite danseuse que les hommes convoitent, le couple sans enfant qui a reporté son affection sur le petit chien, et surtout le couple marié dont les disputes sont de plus en plus violentes jusqu'à la mystérieuse disparition de la femme."
Entretiens Hitch/ La Truffe.

Si Raymond Burr ne bute pas sa bonne-femme mais le facteur ou le laitier, ça ne veut plus rien dire, cornichon ! Fenêtre sur cour, c’est pas un whodunit façon Agatha Christie avec rebondissement final : qui a tué et pourquoi, Hitch s’en tamponne. Les « apparences trompeuses », c’est pas le sujet du film. C’est même un peu le contraire. En résumé, La" vérité que propose le cinéma" est dans le cadre ( Fenêtre / écran ) et Stewart ainsi que le spectateur, immobiles et impuissants, la subissent. Et Hitch le pervers de ricaner derrière la caméra...

ouais, ferme ton dico du cinéma, on t'a reconnu
je m'incline, tu as sans doute raison, hitchcock n'est pas night shamalalinayanmachin
n'empêche ce très bon fenêtre sur cour n'est pas mon préféré PARCE QUE J'AIME PAS TROP LE DENOUEMENT

Ben moi, c’est mon préféré. Number one dans un top 5.

Au passage, pour approfondir le sujet :





Et le bouquin de Jean Douchet

j'ai un bouquin sur hitch avec des scenarios décortiqués, des planches à dessins, etc,
assez technique mais intéressant, pas lu entièrement
mais je ne me rappelle le titre, je te redis ça

le nom de carlos, nous l'avons tous entendu dans notre jeunesse, nous les (presque plus) trentenaires
mais j'avoue que je connaissais mal cette histoire
j'ai donc regardé la première partie du film d'assayas
j'était méfiant, rapport à tout le tintamarre fait avant la diffusion
mais c'était vraiment très bien, l'acteur principal est excellent, la reconstitution de l'époque assez saisissante
le piège qui consiste à faire de carlos un héros romantique est, pour l'instant, évité
la fin de ce première épisode commence même à donner des indices de la dérive sanguinaire du terroriste qui va progressivement trahir ses idéaux

Shoplifter a écrit:

le nom de carlos, nous l'avons tous entendu dans notre jeunesse, nous les (presque plus) trentenaires ...

Tu ne crois pas si bien dire : en CP j'avais un pote d'origine portugaise répondant au doux prénom de Carlos !

Gengis a écrit:

Shoplifter a écrit:

le nom de carlos, nous l'avons tous entendu dans notre jeunesse, nous les (presque plus) trentenaires ...

Tu ne crois pas si bien dire : en CP j'avais un pote d'origine portugaise répondant au doux prénom de Carlos !

en CP j'ai eu un élève qui s'appelait Carlos, un petit brésilien hyper sympa.

et moi dans les années 70/80 j'ai même connu un terroriste sonore du nom de Carlos. Cet enfoiré buvait du oasis en voulant nous faire croire que c'était bon. Il aurait mieux fait de rester masseur tiens.

mais c'est que vous devriez monter un spectacle de stand up, les gars

moi qui ne vais plus du tout au ciné (et je le regrette)
j'ai passé une très bonne soirée , c'est tellement rare les bons films désormais à la tv

Mouais...j'ai été pas mal déçu par ce film. ça va pas bien loin je trouve.
Mais Javier Bardem est génial, très content qu'il ait eu un prix hier à Cannes.

A ce sujet, je suis super content que ce soit le thaïlandais Achipatchong MachinBidule qui ait obtenu la Palme d'Or. Je sais pas ce que vaut son film, mais ses deux précédents, Blissfully Yours et Tropical Malady, sont géniaux dans la catégorie "expériences de cinéma". ça change un peu des pensums à la kiarostami ou des films sociaux caméra épaule à la Dardenne.

la ligne rouge, vu sur une obscure chaîne de la tnt, malgré l'heure très tardive

c'est la troisième fois que je le vois et je l'aime toujours un peu plus ce film
les scènes de combat filmées au ras du sol et des visages sont d'une force incroyable
les lentes échappées poétiques m'avaient un peu destabilisées au premier visionnage mais je trouve désormais qu'elles contrebalancent parfaitement la violence sur du sujet
curiosité : créditer george clooney sur l'affiche constitue une bien belle escroquerie alors que l'acteur apparaît 9 secondes et demi au bout de deux heures de film
en dehors du beau Dr ross, dont on ne peut décemment pas juger la performance ici, un peu à l'image d'un footballeur entrant à 89e du match, tous les acteurs sont grands dans la ligne rouge

Shoplifter a écrit:

la ligne rouge, vu sur une obscure chaîne de la tnt, malgré l'heure très tardive

c'est la troisième fois que je le vois et je l'aime toujours un peu plus ce film
les scènes de combat filmées au ras du sol et des visages sont d'une force incroyable
les lentes échappées poétiques m'avaient un peu destabilisées au premier visionnage mais je trouve désormais qu'elles contrebalancent parfaitement la violence sur du sujet
curiosité : créditer george clooney sur l'affiche constitue une bien belle escroquerie alors que l'acteur apparaît 9 secondes et demi au bout de deux heures de film
en dehors du beau Dr ross, dont on ne peut décemment pas juger la performance ici, un peu à l'image d'un footballeur entrant à 89e du match, tous les acteurs sont grands dans la ligne rouge

Ce film mérite VRAIMENT le terme de CO si galvaudé. Comme l'oeuvre de Malick, finalement. Le seul cinéaste, certes pas prolifique, mais qui ne réalise que des splendeurs.

Pas mal fichu.
Dubosc est drôle (si, si)

moi j'ai vu ça sur arte

c'était en version française mais, à un moment, il y a eu un bug et les mecs du film se sont remis à parler anglais
après quatre ou cinq scènes en VO il y a eu un petit bruit (style, pffffuit merde roger remet la version française quoi)
et c'est revenu en français