Qu'est-ce que vous lisez en ce moment ?

[quote="Wilson Wilson"]

canistrellu a écrit:

j'ai commencé Canis. 70 pages et je ne vois pas encore où il veut en venir. à suivre
le titre français... l'original c'est quand même "A sense of an ending". sacrée différence!

La première partie (qui doit se terminer vers les pages 75-78) prend son sens à la lecture de la seconde.
Barnes aurait préféré que le roman fût nommé "trouble", et moi je dis, Barnes +1.

1919, Niska indienne cree des bois du Canada vient récupérer son neveu au train de Mouse Factory
Il est de retour de la grande guerre, hanté par son séjour dans les tranchées de Belgique et de la Somme, amputé d'une jambe et accro à la morphine

sacré pitch non ?
le livre, j'en suis à la moitié, tient plutôt ses promesses

shoplifter a écrit:

1919, Niska indienne cree des bois du Canada vient récupérer son neveu au train de Mouse Factory
Il est de retour de la grande guerre, hanté par son séjour dans les tranchées de Belgique et de la Somme, amputé d'une jambe et accro à la morphine

sacré pitch non ?
le livre, j'en suis à la moitié, tient plutôt ses promesses

Lu il y a déjà quelques années. bon souvenir mais pas plus que ça pour moi. (si je me souviens bien et c'est pas sûr!)

Acheté hier du coup

canistrellu a écrit:

Wilson Wilson a écrit:

canistrellu a écrit:

j'ai commencé Canis. 70 pages et je ne vois pas encore où il veut en venir. à suivre
le titre français... l'original c'est quand même "A sense of an ending". sacrée différence!

La première partie (qui doit se terminer vers les pages 75-78) prend son sens à la lecture de la seconde.
Barnes aurait préféré que le roman fût nommé "trouble", et moi je dis, Barnes +1.

  ce bouquin m'a échappé. j'ai eu du mal tout le long. jusqu'aux dernières pages. je ne suis même pas sur de les avoir comprises! j'ai besoin de tes lumières en mp mon canis!

vendu comme un des trucs géniaux de la rentrée.
certes assez bien écrit mais alors je m'y ennuie beaucoup. je me force à aller au bout.
encore 100 pages sur les 500

Wilson Wilson a écrit:

vendu comme un des trucs géniaux de la rentrée.
certes assez bien écrit mais alors je m'y ennuie beaucoup. je me force à aller au bout.
encore 100 pages sur les 500

De lui, je te conseille vivement un week-end dans le michigan

davcom a écrit:

Wilson Wilson a écrit:

vendu comme un des trucs géniaux de la rentrée.
certes assez bien écrit mais alors je m'y ennuie beaucoup. je me force à aller au bout.
encore 100 pages sur les 500

De lui, je te conseille vivement un week-end dans le michigan

j'avoue que celui ci m'a laissé sur ma faim. donc en lire un autre maintenant, c'est pas gagné. tu m'en reparleras dans 6 mois.
je termine celui ci ce soir ou demain.

rien d'extraordinaire. ça se laisse bien lire quand même. il y a du suspens et des rebondissements. et pour l'instant je ne vois pas comment ça va se terminer. j'en n'en demande pas plus d'un petit policier français.

page 70 sur 170, je ne vois pas où ça va aller ni trop l'intérêt du bouquin pour le moment.
je persévère (inutilement?)

Passons donc sous silence "les renards pâles".

celui là est d'un tout autre niveau

avec des scènes assez insoutenables à la fin.
bon bouquin.

continuons dans la gaudriole.

Wilson Wilson a écrit:

continuons dans la gaudriole.

J'ai pris à la médiathèque le dernier Powers, ainsi que "Juliet, Naked", d'Hornby.
J'ai commencé par celui-ci.
Pas assez avancé pour formuler une opinion.

Tu me diras pour le nouveau Powers.
j'ai commencé il y a 2 mois je crois son tout premier roman "trois fermiers s'en vont au bal" que j'avais déjà essayé de lire par deux fois. je continue de ne pas y arriver! au moins ai-je dépassé les 200 pages cette fois, mais toujours sans trouver la clé.

Pour Hornby, je me suis arrêté à "vous descendez?" que je n'avais pas du tout aimé.
ce "Juliet, naked" m'avait vaguement attiré à sa sortie, puis pas trouvé en bibliothèque, je l'ai oublié. mais si tu en dis du bien dans quelques jours, pourquoi pas!

en attendant de trouver ton Hornby à la bibliothèque, cher Canis, je me suis relancé dans Roth. j'avais lu celui là il y a des années. j'en ai un souvenir confus.

fini.
beaucoup aimé le début de l'histoire.
à la moitié j'ai trouvé que ça calait sévère.
la fin reprend un peu
au final je trouve que le coup des 3 personnages passe mal. on pense qu'il va s'attarder sur l'un mais non on passe sans cesse de l'un à l'autre puis on en oublie un en route, on le reprend un peu vers la fin.
comme je dis souvent pour un bouquin moyen, ça se laisse lire mais pas plus que ça.

quant à la "contrevie" de Roth, je m'ennuie pour l'instant. pas sûr d'aller au bout.

Wilson Wilson a écrit:

fini.
beaucoup aimé le début de l'histoire.
à la moitié j'ai trouvé que ça calait sévère.
la fin reprend un peu
au final je trouve que le coup des 3 personnages passe mal. on pense qu'il va s'attarder sur l'un mais non on passe sans cesse de l'un à l'autre puis on en oublie un en route, on le reprend un peu vers la fin.
comme je dis souvent pour un bouquin moyen, ça se laisse lire mais pas plus que ça.

Marrant, terminé hier.
Lu en filigrane, pas mal, mais pas marquant.
Vu l'érudition musicale du bonhomme, je me demandais sans cesse à qui pouvait faire référence Tucker Crowe.
Wilson2, tu as une idée ?

canistrellu a écrit:

Wilson Wilson a écrit:

fini.
beaucoup aimé le début de l'histoire.
à la moitié j'ai trouvé que ça calait sévère.
la fin reprend un peu
au final je trouve que le coup des 3 personnages passe mal. on pense qu'il va s'attarder sur l'un mais non on passe sans cesse de l'un à l'autre puis on en oublie un en route, on le reprend un peu vers la fin.
comme je dis souvent pour un bouquin moyen, ça se laisse lire mais pas plus que ça.

Marrant, terminé hier.
Lu en filigrane, pas mal, mais pas marquant.
Vu l'érudition musicale du bonhomme, je me demandais sans cesse à qui pouvait faire référence Tucker Crowe.
Wilson2, tu as une idée ?

pas une seconde je n'ai pensé à un chanteur existant! et en y pensant maintenant, je ne vois pas.
un type qui arrête sa carrière en "pleine" gloire, qui se retire, ne donne plus aucune nouvelle et revient 20 ans après?? sais pas.

polnareff, michel.

Wilson Wilson a écrit:

canistrellu a écrit:

Wilson Wilson a écrit:

fini.
beaucoup aimé le début de l'histoire.
à la moitié j'ai trouvé que ça calait sévère.
la fin reprend un peu
au final je trouve que le coup des 3 personnages passe mal. on pense qu'il va s'attarder sur l'un mais non on passe sans cesse de l'un à l'autre puis on en oublie un en route, on le reprend un peu vers la fin.
comme je dis souvent pour un bouquin moyen, ça se laisse lire mais pas plus que ça.

Marrant, terminé hier.
Lu en filigrane, pas mal, mais pas marquant.
Vu l'érudition musicale du bonhomme, je me demandais sans cesse à qui pouvait faire référence Tucker Crowe.
Wilson2, tu as une idée ?

pas une seconde je n'ai pensé à un chanteur existant! et en y pensant maintenant, je ne vois pas.
un type qui arrête sa carrière en "pleine" gloire, qui se retire, ne donne plus aucune nouvelle et revient 20 ans après?? sais pas.

Je me demandais si l'auteur n'avait pas imaginé qu'un chanteur, ayant davantage un succès critique, que commercial, des années 70-80, s'arrête ainsi.

j'aime bien balzac

Ce pourrait être le dilemme du lecteur, en tout cas, le mien.

Le récit - comme dans "Gains" - alterne une histoire familiale, et un secteur de l'Amérique, ici, pour faire bref, le besoin d'évasion lié à la condition humaine, et le rôle joué par Disney. Sur ces récits que j'ai pu lire, je pense que Powers veut écrire le grand roman de l'Amérique, notamment celle du 20ème, avec "gains", "le temps où nous chantions"; entreprise balzacienne ? Quoi qu'il en soit, l'érudition du bonhomme est impressionnante.
Cette fois-ci, je me suis ennuyé ferme pour l'histoire familiale, lu les premiers chapitres, les derniers,, puisque les deux histoires se recoupent.
En revanche, même si je n'ai pas forcément tout compris, les pages sur le besoin d'évasion sont passionnantes. Outre la profondeur de la réflexion, Powers fait oeuvre romanesque : ses personnages sont forts, son esprit synthétique se traduit en fulgurances, qui donnent du souffle au récit.

shoplifter a écrit:

j'aime bien balzac

+1