Qu'est-ce que vous lisez en ce moment ?

Shoplifter a écrit:

Magnifique bouquin

beachboy a écrit:

Shoplifter a écrit:

Magnifique bouquin

beaucoup de descriptions qui attisent encore un peu plus le feu du suspense
j'en suis à la page 107, le quadruple meurtre est découvert, ne me dites rien sur la suite
je lis truman capote pour la première fois et je m'en réjouis

pour ceux que ça intéresse :

http://www.critiqueslibres.com/i.php

Prix des lecteurs/lectrices critiqueslibres.com 2010
Voici les finalistes élus dans chaque catégorie. Vous avez jusqu'à Octobre 2010 pour lire ce qui vous tente ! Allez !

Catégorie Roman de la francophonie :

* La délégation norvégienne / Hugo Boris (France)
* Le vampire de Ropraz / Jacques Chessex (Suisse)
* Indian Tango / Ananda Devi (île Maurice)
* Chaleur du sang / Irène Némirovsky (France-Ukraine)

Catégorie Roman étranger :

* Le cercle du karma / Kunzang Choden (Bhoutan)
* Wisconsin / Mary Relindes Ellis (USA)
* Le rêve du village des Ding / Lianke Yan (Chine)
* La voleuse de livres / Marcus Zusak (Australie)

Catégorie Polar ou Thriller :

* Le chant de la mission / John Le Carré (UK)
* Dissimulation de preuves / Donna Leon (USA-Italie)
* Le pic du diable / Deon Meyer (Afrique du Sud)
* Contes barbares / Craig Russell (Écosse)

Catégorie Bande Dessinée :

* Chroniques birmanes / Delisle (Québec-France)
* La théorie du grain de sable / Schuiten et Peeters (France-Belgique)
* Mourir partir revenir, c'est le jeu des hirondelles / Abirached (Liban)
* Le voyage des pères, Tome 1 : Jonas / Ratte (France)

Catégorie Découvrir :

* L'autobus / Eugenia Almeida (Argentine)
* Trudi la naine / Ursula Hegi (Allemagne-USA)
* Le parasite / Georges Lafontaine (Québec)
* Le froid modifie la trajectoire des poissons / Pierre Szalowski (Québec-France)

après le premier tome de Millenium (pas mal mais pas plus que ça finalement...quelques lourdeurs je trouve dans le contenu), j'ai commencé hier soir, sur le demande express de notre jeff national, ceci



vous vous souvenez (ou pas, vous vous en foutez) que j'ai lu de lui, il y a peu "apprendre à finir" que j'avais trouvé très bien.
les 60 premières pages de ces "hommes" confirment.
mauvignier est un sacré écrivain. le dernier choc stylistique que j'ai eu, c'était Philippe Claudel avec "Brodeck".
là, c'est encore plus fort. avec "brodeck", le sujet du livre me passionnait tellement que finalement, écrit à la truelle, ça serait passé je crois. pour "les hommes", au bout de 60 pages, on ne sait pas encore où ça va aller. ce qui va se passer. où il veut en venir. non, on est simplement pris par l'écriture et la façon de raconter de cet auteur. ces phrases ciselées, complexes, dures souvent mais vraies.
je suis sur le cul. littéralement.
merci Jeff.

El gringo Pimento a écrit:

après le premier tome de Millenium (pas mal mais pas plus que ça finalement...quelques lourdeurs je trouve dans le contenu), j'ai commencé hier soir, sur le demande express de notre jeff national, ceci



vous vous souvenez (ou pas, vous vous en foutez) que j'ai lu de lui, il y a peu "apprendre à finir" que j'avais trouvé très bien.
les 60 premières pages de ces "hommes" confirment.
mauvignier est un sacré écrivain. le dernier choc stylistique que j'ai eu, c'était Philippe Claudel avec "Brodeck".
là, c'est encore plus fort. avec "brodeck", le sujet du livre me passionnait tellement que finalement, écrit à la truelle, ça serait passé je crois. pour "les hommes", au bout de 60 pages, on ne sait pas encore où ça va aller. ce qui va se passer. où il veut en venir. non, on est simplement pris par l'écriture et la façon de raconter de cet auteur. ces phrases ciselées, complexes, dures souvent mais vraies.
je suis sur le cul. littéralement.
merci Jeff.

zut
trop tard pour le commander au père noël

Shoplifter a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

après le premier tome de Millenium (pas mal mais pas plus que ça finalement...quelques lourdeurs je trouve dans le contenu), j'ai commencé hier soir, sur le demande express de notre jeff national, ceci



vous vous souvenez (ou pas, vous vous en foutez) que j'ai lu de lui, il y a peu "apprendre à finir" que j'avais trouvé très bien.
les 60 premières pages de ces "hommes" confirment.
mauvignier est un sacré écrivain. le dernier choc stylistique que j'ai eu, c'était Philippe Claudel avec "Brodeck".
là, c'est encore plus fort. avec "brodeck", le sujet du livre me passionnait tellement que finalement, écrit à la truelle, ça serait passé je crois. pour "les hommes", au bout de 60 pages, on ne sait pas encore où ça va aller. ce qui va se passer. où il veut en venir. non, on est simplement pris par l'écriture et la façon de raconter de cet auteur. ces phrases ciselées, complexes, dures souvent mais vraies.
je suis sur le cul. littéralement.
merci Jeff.

zut
trop tard pour le commander au père noël

t'as pas une bibliothèque dans ton coin?
je trouve ce roman bluffant. difficile à lire et à supporter parfois dans les "idées" qui y sont développées mais bluffant.

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu les saisons de la nuit ? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu les saisons de la nuit ? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

vous m'embarrassez! je n'ai pas du tout aimé "danseur". et celui là je ne prévoyais pas de le lire.
vous êtes rien pénibles!

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

ça s'arrange pas toi! après la belle histoire, mccann... déçu je suis

El gringo Pimento a écrit:

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

ça s'arrange pas toi! après la belle histoire, mccann... déçu je suis

El gringo Pimento a écrit:

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

ça s'arrange pas toi! après la belle histoire, mccann... déçu je suis

t'aime pas mcann, toi ?
jeff a trop d'influence sur toi

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

En somme, le festival de McCann.

Sympa de me l'avoir laissée, celle-là.

Shoplifter a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

ça s'arrange pas toi! après la belle histoire, mccann... déçu je suis

t'aime pas mcann, toi ?
jeff a trop d'influence sur toi

nonobstant sa légendaire petite taille, Jeff est un géant côté littérature.
et non, McCann c'est pas trop ma came (enfin, je n'ai lu que Danseur et c'est rarissime mais je n'ai pas réussi à aller au bout)
dans le doute, peut etre essayerai-je (par égard pour vous tous) dans les mois qui viennent son dernier que vous aimez.

El gringo Pimento a écrit:

Shoplifter a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

ça s'arrange pas toi! après la belle histoire, mccann... déçu je suis

t'aime pas mcann, toi ?
jeff a trop d'influence sur toi

nonobstant sa légendaire petite taille, Jeff est un géant côté littérature.
et non, McCann c'est pas trop ma came (enfin, je n'ai lu que Danseur et c'est rarissime mais je n'ai pas réussi à aller au bout)
dans le doute, peut etre essayerai-je (par égard pour vous tous) dans les mois qui viennent son dernier que vous aimez.

Monsieur est trop bon.

canistrellu a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

Shoplifter a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

La dame oiselle a écrit:

La dame oiselle a écrit:

canistrellu a écrit:

Shoplifter a écrit:

canistrellu a écrit:

Dans les grands moments de l'année.

J'ai déjà adoré "ailleurs, en ce pays", trois nouvelles tout en retenue sur la guerre en Irlande et "Danseur" la vie romancée de Noureiev.

"et que le vaste monde..." est une oeuvre magistrale. Fluidité du style, comme pour les récits précédents (Merci, M. Piningre pour votre traduction). Virtuosité de la narration : l'histoire se déroule en 1974 pour ses 400 premières pages, seules les trentes dernières se passent en 2006.
Tous les chapitres adoptent un point de vue différent, et le récit progresse ainsi, en s'identifiant à ses personnages. Triple point commun à toutes les histoires, qui finissent pas s'entrecroiser : 1974, New York, et un funambule qui est passé sur une corde entre les deux tours du W Trade center (histoire vraie) cette année-là.
On verra un prêtre irlandais qui hésite entre la chair et le divin, de nombreuses prostituées, des femmes qui se retrouvent pour toutes évoquer leurs fils morts au Vietnam (parmi les plus belles pages du roman)...
Une déclaration d'amour à une ville grouillante, sale, et vivante, l'ombre du 11 septembre en filigrane (évoqué par l'unique photo dans l'ouvrage, et présent dans le dernier chapitre avec le climat ,sécuritaire jusqu'à l'absurde.)
Et des pages d'une beauté, je vous en recopierais bien quelques-unes.

je l'avais conseillé aussi mais jeff s'était moqué de moi
as-tu lu [i]les saisons de la nuit [/i]? du même auteur
c'est indispensable si tu aimes ce style fluide et les histoires qui s'entremêlent

non, je l'ai dans les livres à lire de ma biblio; "et que le vaste monde..." je l'ai eu à la médiathèque, je l'ai lu en priorité, il est très demandé.

Je suis une fan de colum mc cann... Et surtout les saisons de la nuit. Je n'ai pas beaucoup aimé Danseur non plus.

(oups, message parti trop vite)

J'ai pris énormément de plaisir avec "et que le vaste monde" et avec "Zoli" aussi...

Bref, je suis une fan, quoi !

ça s'arrange pas toi! après la belle histoire, mccann... déçu je suis

t'aime pas mcann, toi ?
jeff a trop d'influence sur toi

nonobstant sa légendaire petite taille, Jeff est un géant côté littérature.
et non, McCann c'est pas trop ma came (enfin, je n'ai lu que Danseur et c'est rarissime mais je n'ai pas réussi à aller au bout)
dans le doute, peut etre essayerai-je (par égard pour vous tous) dans les mois qui viennent son dernier que vous aimez.

Monsieur est trop bon.

merci Canis!

je confirme les dires de Jeff mon maître, c'est un grand livre.

je commence ça

et les 100 premières pages me rappellent fortement celui ci (qui était excellent)

El gringo Pimento a écrit:

je commence ça

et les 100 premières pages me rappellent fortement celui ci (qui était excellent)

Tu peux en dire plus ?

La dame oiselle a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

je commence ça

et les 100 premières pages me rappellent fortement celui ci (qui était excellent)

Tu peux en dire plus ?

ma foi c'est policier sans l'être vraiment. il y a des meurtres de petites filles dans les années 40. le narrateur, qui est enfant à l'époque, raconte ce qu'il ressent, les recherches désespérées qu'il mène avec des amis. les meurtres tournent à l'obsession d'autant qu'une de ses amies est victime, non pas du tueur (pour l'instant) mais de la population qui a désigné une famille allemande comme coupable (1942/1943...)

El gringo Pimento a écrit:

La dame oiselle a écrit:

El gringo Pimento a écrit:

je commence ça

et les 100 premières pages me rappellent fortement celui ci (qui était excellent)

Tu peux en dire plus ?

ma foi c'est policier sans l'être vraiment. il y a des meurtres de petites filles dans les années 40. le narrateur, qui est enfant à l'époque, raconte ce qu'il ressent, les recherches désespérées qu'il mène avec des amis. les meurtres tournent à l'obsession d'autant qu'une de ses amies est victime, non pas du tueur (pour l'instant) mais de la population qui a désigné une famille allemande comme coupable (1942/1943...)

Ah ok... Merci (quelle réactivité dans les réponses ce Colonel).
(Je crois bien que ce type de lecture n'est pas pour moi en ce moment)

El gringo Pimento a écrit:

je confirme les dires de Jeff mon maître, c'est un grand livre.

Ah quand même ! Effectivement, c'est un grand livre, que je conseille bien évidemment à tout le monde pour se prendre la claque de l'année; si tu n'as pas lu son précédent "dans la foule", je te le suggère aussi.