Qu'est-ce que vous lisez en ce moment ?

l'extrait est trompeur Bro'. m'enfin, tu peux essayer si tu veux. je suis curieux qu'un copain le lise d'ailleurs.
bon courage quand même!

je n'ai lu aucun Ellroy pour ma part....la honte

après Oméga mineur, je suis maso et j'ai attaqué ça

ça se lit quand même plus facilement que le précédent. ouf.

. a écrit:

c'était un bon livre.
la fin est très belle. quelques longueurs tout de même.
avoir le point de vue des 3 personnages principaux était très intéressant: le père/la mère/ le fils aîné

j'attaque celui là

et ça rigole pas non plus... (oui j'aime bien aussi les points de suspension, Tony, ainsi que les points d'exclamation. voilà c'est dit)

Comptez moi dans la secte de Séb...



J'ai fais une pause dans le Swann de Proust parce que j'y passe un temps fou et qu'il faut que j'attaque mes bouquins du programme de l'année prochaine, mais après un Phèdre et surtout un Alcool (d'Apollinaire) qui est génial, mais qui m’endors parce que la poésie c'est pas mon truc, j'ai commencé hier le Roi sans Divertissement.
Ca me fait penser au Maître et Marguerite (sans offenses Séb !), parce que c'est le genre de livre qui paraît plus ou moins limpide lorsqu'on en fait une lecture rapide, c'est à dire non fouillée, mais qui est terriblement profond quand on fait bien attention à tous les mots, aux voix, aux symboles, aux échos etc.
Dis moi Séb, ça t'arrives de trouver des nouveaux éléments, des trucs que t'avais jamais repéré quand tu le relis ? En tout cas faudra que tu m'expliques deux trois trucs quand je l'aurai fini d'ici demain, il me reste moins de cent pages.

Arcadien a écrit:

Comptez moi dans la secte de Séb...



J'ai fais une pause dans le Swann de Proust parce que j'y passe un temps fou et qu'il faut que j'attaque mes bouquins du programme de l'année prochaine, mais après un Phèdre et surtout un Alcool (d'Apollinaire) qui est génial, mais qui m’endors parce que la poésie c'est pas mon truc, j'ai commencé hier le Roi sans Divertissement.
Ca me fait penser au Maître et Marguerite (sans offenses Séb !), parce que c'est le genre de livre qui paraît plus ou moins limpide lorsqu'on en fait une lecture rapide, c'est à dire non fouillée, mais qui est terriblement profond quand on fait bien attention à tous les mots, aux voix, aux symboles, aux échos etc.
Dis moi Séb, ça t'arrives de trouver des nouveaux éléments, des trucs que t'avais jamais repéré quand tu le relis ? En tout cas faudra que tu m'expliques deux trois trucs quand je l'aurai fini d'ici demain, il me reste moins de cent pages.

t'es un rapide cher Arcadien!
ce bouquin je l'ai lu une dizaine de fois je pense. et c'est vrai que je trouvais de nouvelles choses presque à chaque fois.
là ça fait un bon moment que je ne l'ai pas rouvert.

ça me gonfle!

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Comptez moi dans la secte de Séb...



J'ai fais une pause dans le Swann de Proust parce que j'y passe un temps fou et qu'il faut que j'attaque mes bouquins du programme de l'année prochaine, mais après un Phèdre et surtout un Alcool (d'Apollinaire) qui est génial, mais qui m’endors parce que la poésie c'est pas mon truc, j'ai commencé hier le Roi sans Divertissement.
Ca me fait penser au Maître et Marguerite (sans offenses Séb !), parce que c'est le genre de livre qui paraît plus ou moins limpide lorsqu'on en fait une lecture rapide, c'est à dire non fouillée, mais qui est terriblement profond quand on fait bien attention à tous les mots, aux voix, aux symboles, aux échos etc.
Dis moi Séb, ça t'arrives de trouver des nouveaux éléments, des trucs que t'avais jamais repéré quand tu le relis ? En tout cas faudra que tu m'expliques deux trois trucs quand je l'aurai fini d'ici demain, il me reste moins de cent pages.

t'es un rapide cher Arcadien!
ce bouquin je l'ai lu une dizaine de fois je pense. et c'est vrai que je trouvais de nouvelles choses presque à chaque fois.
là ça fait un bon moment que je ne l'ai pas rouvert.

j ai une table bancale, tu peux me le preter plz ?

il fait 248 pages, ça ne suffira pas

remarque j ai plus de PQ à la maison, ca fera l affaire

Fini, déroutant de bout en bout... !

Arcadien a écrit:

Fini, déroutant de bout en bout... !

Pas mal la fin non?!

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Fini, déroutant de bout en bout... !

Pas mal la fin non?!

Oui, enfin j'ai vraiment la haine contre les vieilles éditions, la mienne a carrément les derniers paragraphes en guise de quatrième de couverture, donc je m'y attendais, par contre l'histoire sur l'oie, ça... Enfin d'un autre côté ce qui est dévoilé sur le quatrième tu le sais dès le milieu du roman, c'est pas comme çi c'était les quinze dernières lignes du Crime & Châtiment !
En tout cas c'est une bien belle allégorie de l'homme. J'ai vu que Giono l'a écrit en quelques mois !
Maintenant que je sais la fin, faut que je le relise parce que j'ai trouvé quatre/cinq pistes de lecture, mais je vais attendre un peu ! En tout cas merci du conseil, avec ce bouquin et le Seigneur des Porcheries, j'aime bien tes goûts.

Maintenant j'attaque ça :


J'ai trouvé dans ma librairie grenobloise cette édition, 4 euros et illustrée par Gustave Doré...

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Fini, déroutant de bout en bout... !

Pas mal la fin non?!

Oui, enfin j'ai vraiment la haine contre les vieilles éditions, la mienne a carrément les derniers paragraphes en guise de quatrième de couverture, donc je m'y attendais, par contre l'histoire sur l'oie, ça... Enfin d'un autre côté ce qui est dévoilé sur le quatrième tu le sais dès le milieu du roman, c'est pas comme çi c'était les quinze dernières lignes du Crime & Châtiment !
En tout cas c'est une bien belle allégorie de l'homme. J'ai vu que Giono l'a écrit en quelques mois !
Maintenant que je sais la fin, faut que je le relise parce que j'ai trouvé quatre/cinq pistes de lecture, mais je vais attendre un peu ! En tout cas merci du conseil, avec ce bouquin et le Seigneur des Porcheries, j'aime bien tes goûts.

normal, je suis le bon goût incarné!

dans mes souvenirs lointains, Giono a écrit ce livre quelques temps après la guerre et surtout après été incarcéré, accusé à tort de collaboration. période noire pour lui.
"Un roi" c'est le début de ce qu'on appelle (je crois!), "la seconde manière" ou la seconde période de Giono. il quitte son délire de l'homme en accord avec la nature et de la nature toute puissante pour se pencher sur l'homme et ses tourments.

. a écrit:

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Fini, déroutant de bout en bout... !

Pas mal la fin non?!

Oui, enfin j'ai vraiment la haine contre les vieilles éditions, la mienne a carrément les derniers paragraphes en guise de quatrième de couverture, donc je m'y attendais, par contre l'histoire sur l'oie, ça... Enfin d'un autre côté ce qui est dévoilé sur le quatrième tu le sais dès le milieu du roman, c'est pas comme çi c'était les quinze dernières lignes du Crime & Châtiment !
En tout cas c'est une bien belle allégorie de l'homme. J'ai vu que Giono l'a écrit en quelques mois !
Maintenant que je sais la fin, faut que je le relise parce que j'ai trouvé quatre/cinq pistes de lecture, mais je vais attendre un peu ! En tout cas merci du conseil, avec ce bouquin et le Seigneur des Porcheries, j'aime bien tes goûts.

normal, je suis le bon goût incarné!

dans mes souvenirs lointains, Giono a écrit ce livre quelques temps après la guerre et surtout après été incarcéré, accusé à tort de collaboration. période noire pour lui.
"Un roi" c'est le début de ce qu'on appelle (je crois!), "la seconde manière" ou la seconde période de Giono. il quitte son délire de l'homme en accord avec la nature et de la nature toute puissante pour se pencher sur l'homme et ses tourments.

Ca a pas l'air d'être l'avis de tout le monde ici

Hé beh, ça m'a tout l'air d'être un héritier du romantisme le Giono ! Enfin les deux dimensions se croisent dans Un Roi, vu que les tourments de l'homme en question sont (en partie) inspirés par la beauté de la nature (mais poussés par l'ennui)... !

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Fini, déroutant de bout en bout... !

Pas mal la fin non?!

Oui, enfin j'ai vraiment la haine contre les vieilles éditions, la mienne a carrément les derniers paragraphes en guise de quatrième de couverture, donc je m'y attendais, par contre l'histoire sur l'oie, ça... Enfin d'un autre côté ce qui est dévoilé sur le quatrième tu le sais dès le milieu du roman, c'est pas comme çi c'était les quinze dernières lignes du Crime & Châtiment !
En tout cas c'est une bien belle allégorie de l'homme. J'ai vu que Giono l'a écrit en quelques mois !
Maintenant que je sais la fin, faut que je le relise parce que j'ai trouvé quatre/cinq pistes de lecture, mais je vais attendre un peu ! En tout cas merci du conseil, avec ce bouquin et le Seigneur des Porcheries, j'aime bien tes goûts.

normal, je suis le bon goût incarné!

dans mes souvenirs lointains, Giono a écrit ce livre quelques temps après la guerre et surtout après été incarcéré, accusé à tort de collaboration. période noire pour lui.
"Un roi" c'est le début de ce qu'on appelle (je crois!), "la seconde manière" ou la seconde période de Giono. il quitte son délire de l'homme en accord avec la nature et de la nature toute puissante pour se pencher sur l'homme et ses tourments.

Ca a pas l'air d'être l'avis de tout le monde ici

Hé beh, ça m'a tout l'air d'être un héritier du romantisme le Giono ! Enfin les deux dimensions se croisent dans Un Roi, vu que les tourments de l'homme en question sont (en partie) inspirés par la beauté de la nature (mais poussés par l'ennui)... !

dis donc, tu me cherches petit?! fais gaffe.

tiens, discussion: les tourments de l'homme, des personnages d'un "Roi" ne sont pas inspirés par la nature il me semble (faudrait aller le relire!). tourments car ennui. et l'ennui est détourné, mis de côté grâce au divertissement: la beauté de la nature oui, la messe de minuit aussi. souviens toi de Langlois qui dit au curé qu'il n'y aura rien à craindre le soir de la messe de minuit car il pense que le meurtrier aura un divertissement suffisant

. a écrit:

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Fini, déroutant de bout en bout... !

Pas mal la fin non?!

Oui, enfin j'ai vraiment la haine contre les vieilles éditions, la mienne a carrément les derniers paragraphes en guise de quatrième de couverture, donc je m'y attendais, par contre l'histoire sur l'oie, ça... Enfin d'un autre côté ce qui est dévoilé sur le quatrième tu le sais dès le milieu du roman, c'est pas comme çi c'était les quinze dernières lignes du Crime & Châtiment !
En tout cas c'est une bien belle allégorie de l'homme. J'ai vu que Giono l'a écrit en quelques mois !
Maintenant que je sais la fin, faut que je le relise parce que j'ai trouvé quatre/cinq pistes de lecture, mais je vais attendre un peu ! En tout cas merci du conseil, avec ce bouquin et le Seigneur des Porcheries, j'aime bien tes goûts.

normal, je suis le bon goût incarné!

dans mes souvenirs lointains, Giono a écrit ce livre quelques temps après la guerre et surtout après été incarcéré, accusé à tort de collaboration. période noire pour lui.
"Un roi" c'est le début de ce qu'on appelle (je crois!), "la seconde manière" ou la seconde période de Giono. il quitte son délire de l'homme en accord avec la nature et de la nature toute puissante pour se pencher sur l'homme et ses tourments.

Ca a pas l'air d'être l'avis de tout le monde ici

Hé beh, ça m'a tout l'air d'être un héritier du romantisme le Giono ! Enfin les deux dimensions se croisent dans Un Roi, vu que les tourments de l'homme en question sont (en partie) inspirés par la beauté de la nature (mais poussés par l'ennui)... !

dis donc, tu me cherches petit?! fais gaffe.

tiens, discussion: les tourments de l'homme, des personnages d'un "Roi" ne sont pas inspirés par la nature il me semble (faudrait aller le relire!). tourments car ennui. et l'ennui est détourné, mis de côté grâce au divertissement: la beauté de la nature oui, la messe de minuit aussi. souviens toi de Langlois qui dit au curé qu'il n'y aura rien à craindre le soir de la messe de minuit car il pense que le meurtrier aura un divertissement suffisant

Oui et par l'ensemble des cérémonies puis finalement par le mariage de Langlois (ou même par la chasse au loup, transformée en cérémonie. A ce propos, c'est moi où Giono exagère les dégats faits par le loup ?) qu'il tente désespérément de vaincre son ennui.
Je ne sais pas si ces meurtres sont du divertissement ou bien quelque chose de naturel chez l'homme, sa nature profonde qui justement est chassée par le divertissement, mais n'en est pas un. (je crois que c'est ce que veut dire Pascal dans ses Pensées).
La nature alors apparait comme un cadre pour tuer, uniquement par plaisir esthétique, comme le remarque le narrateur indirectement en s’intéressant à la couleur du sang, en nous poussant à adopter un point de vue de peintre, et bien sûr avec les descriptions du sang des victimes voire des victimes eux-mêmes. Le sang est projeté sur la neige, contraste naturel, marque de l'homme sur la nature omniprésente, peut être moyen de se montrer maître.

as tu fait attention au nom du héros "Langlois"
et aussi à l'autre nom: M. V
et aux sens qu'on pouvait tirer de tout ça?

ce qui m'a le plus impressionné dans le roman je crois c'est le fait que ce soit un roman total dans le sens où on a un roman policier, philosophique, une histoire d'amour

. a écrit:

as tu fait attention au nom du héros "Langlois"
et aussi à l'autre nom: M. V
et aux sens qu'on pouvait tirer de tout ça?

ce qui m'a le plus impressionné dans le roman je crois c'est le fait que ce soit un roman total dans le sens où on a un roman policier, philosophique, une histoire d'amour

M.V., oui j'ai lu que c'était "Mauvais Voisin" dans le manuscrit. Y a t il un autre sens ? En tout cas j'aime beaucoup le fait qu'il soit inconnu, comme si son identité importait peu : tant qu'il est un homme, et qu'il représente l'homme typique (cf. "voisin"), le propos est le même. Itou pour les motifs d'ailleurs, même si comme je l'ai dis, ils sont largement sous entendus par le narrateur.
Langlois par contre je ne vois pas du tout

Oui et c'est aussi super drôle, surtout quand le narrateur du début se moque de Frederique II dans le passage de la poursuite de M.V., ça m'a d'ailleurs fait pensé au terrible procédé du "unreliable narrator" c'est à dire un récit à la première personne où le narrateur, justement, dit de grosses conneries et qu'il cache au lecteur la vérité. Je croyais que c'était exclusivement anglais, mais ce passage là s'en approche beaucoup !
Ce que j'adore justement, c'est cette pluralité de voix, et ce registre oral.

Arcadien a écrit:

. a écrit:

as tu fait attention au nom du héros "Langlois"
et aussi à l'autre nom: M. V
et aux sens qu'on pouvait tirer de tout ça?

ce qui m'a le plus impressionné dans le roman je crois c'est le fait que ce soit un roman total dans le sens où on a un roman policier, philosophique, une histoire d'amour

M.V., oui j'ai lu que c'était "Mauvais Voisin" dans le manuscrit. Y a t il un autre sens ? En tout cas j'aime beaucoup le fait qu'il soit inconnu, comme si son identité importait peu : tant qu'il est un homme, et qu'il représente l'homme typique (cf. "voisin"), le propos est le même. Itou pour les motifs d'ailleurs, même si comme je l'ai dis, ils sont largement sous entendus par le narrateur.
Langlois par contre je ne vois pas du tout

Oui et c'est aussi super drôle, surtout quand le narrateur du début se moque de Frederique II dans le passage de la poursuite de M.V., ça m'a d'ailleurs fait pensé au terrible procédé du "unreliable narrator" c'est à dire un récit à la première personne où le narrateur, justement, dit de grosses conneries et qu'il cache au lecteur la vérité. Je croyais que c'était exclusivement anglais, mais ce passage là s'en approche beaucoup !
Ce que j'adore justement, c'est cette pluralité de voix, et ce registre oral.

+1

Mauvais Voisin, oui.
aussi Mort Vie

Langlois, cherche encore un peu et pense à la couverture que tu as postée. elle est explicite. tout y est.

Mort Vie, pas mal niveau symbolique, ça renvoi bien à cette idée de divertissement à travers la mort qui rapproche de la condition humaine et donc de la vie.

Langlois, l'oie. L'angle ?

Arcadien a écrit:

Mort Vie, pas mal niveau symbolique, ça renvoi bien à cette idée de divertissement à travers la mort qui rapproche de la condition humaine et donc de la vie.

Langlois, l'oie. L'angle ?

je crois qu'il y a d'autres significations à M. V

pour Langlois, effectivement, l'oie et aussi le sang.

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Mort Vie, pas mal niveau symbolique, ça renvoi bien à cette idée de divertissement à travers la mort qui rapproche de la condition humaine et donc de la vie.

Langlois, l'oie. L'angle ?

je crois qu'il y a d'autres significations à M. V

pour Langlois, effectivement, l'oie et aussi le sang.

D'accord. Il est donc défini par son acte final qui est une fatalité à laquelle il essaie d'échapper tout au long du roman...

Ca y est tu m'as convaincu, Giono est un génie.

Il y a sans doute d'autres significations à M.V., mais on peut tellement tout mettre derrière ces quelques lettres. Cela dit je suis sûr qu'il y a des pistes dans le roman.

Ah, et la brodeuse c'est bien sa femme ? Le tableau c'est bien lui ?

Arcadien a écrit:

. a écrit:

Arcadien a écrit:

Mort Vie, pas mal niveau symbolique, ça renvoi bien à cette idée de divertissement à travers la mort qui rapproche de la condition humaine et donc de la vie.

Langlois, l'oie. L'angle ?

je crois qu'il y a d'autres significations à M. V

pour Langlois, effectivement, l'oie et aussi le sang.

D'accord. Il est donc défini par son acte final qui est une fatalité à laquelle il essaie d'échapper tout au long du roman...

Ca y est tu m'as convaincu, Giono est un génie.

Il y a sans doute d'autres significations à M.V., mais on peut tellement tout mettre derrière ces quelques lettres. Cela dit je suis sûr qu'il y a des pistes dans le roman.

Ah, et la brodeuse c'est bien sa femme ? Le tableau c'est bien lui ?

oui la brodeuse...et le tableau, c'est exact.

la fatalité de langlois, il aurait pu y échapper à travers l'amour de Saucisse, s'il l'avait choisie elle. mais quelque chose l'en empêche. quoi? je ne sais plus.

Si tu veux arcad, je peux te filer un lien vers un fofo qui parle de ce livre

V a écrit:

Si tu veux arcad, je peux te filer un lien vers un fofo qui parle de ce livre

quoi?! tu l'as trouvé?