Ce sont bien elles qui négocient avec les plateformes, en ce cas oui on peut les considérer comme des ayants droits; sachant bien entendu que tout dépend ensuite du contrat que l'artiste a passé avec son label et tous n'ont pas forcément l'aura d'une Taylor Swift ou d'un Thom Yorke.
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« Nous sommes les victimes collatérales » du débat sur les revenus des artistes, déplore-t-on chez Deezer. En effet, une fois les sommes versés aux ayants droit, donc les maisons de disques, les plateformes n’ont plus la main, et ce sont les contrats qui lient producteurs et artistes qui déterminent la part des producteurs et des artistes.
Si l’Adami dénonce « des contrats d’un autre temps », les producteurs répondent qu’« ils prennent tous les risques » et que « pour neuf productions sur dix », il n’y a pas de profits.
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